Tren Bala para Argentina:
Kirchner encabezó el llamado a licitación para un tren de alta velocidad entre Capital y Rosario
Fue esta noche, en Casa de Gobierno. El proyecto prevé una inversión de alrededor de 800 millones de dólares. Las obras podrían iniciarse a principios del año que viene.
El presidente
Néstor Kirchner encabezó esta tarde el acto de
llamado a licitación para poner en marcha un tren de alta velocidad entre Buenos Aires y Rosario.
La ceremonia se realizó en Casa de Gobierno. El proyecto está enmarcado en el
Plan de Recuperación y Modernización Ferroviaria y demandaría una inversión de alrededor de
800 millones de dólares. Parte de ese dinero, según se informó, podría ser financiado por empresas privadas.
El plan prevé la prestación de un
servicio de alta velocidad (de 250 a 300 km/h) entre Buenos Aires y Rosario, así como un recorrido complementario -con tecnología similar o formaciones diesel de altas prestaciones- en el tramo Rosario-Córdoba.
Para el primer tramo será necesaria la total reconstrucción de la infraestructura existente, lo que implica renovación de vías, electrificación y mejoras en señalización, comunicaciones y pasos a nivel. De acuerdo a las características del emprendimiento, el Gobierno puso como condición en los pliegos que los oferentes "tengan antecedentes en la construcción y manejo de trenes rápidos".
Del acto, además de Kirchner, participaron el vice Daniel Scioli, el gobernador de Santa Fe, Jorge Obeid, el vicegobernador de Córdoba, Juan Carlos Schiaretti y el jefe de Gobierno porteño, Jorge Telerman. También asistieron los ministros de Economía, Felisa Miceli, de Planificación, Julio De Vido, y de Salud, Ginés González García.
De acuerdo al secretario de Transporte, Ricardo Jaime, el plan contempla "cubrir frecuencias Buenos Aires-Rosario cada 60 minutos en las horas pico y no menos de tres frecuencias diarias a Córdoba". Asimismo, destacó que las obras
generarán 5 mil puestos de trabajo directo y más de 20 mil indirectos, en tanto que la explotación del servicio dará trabajo a 350 personas.
http://www.clarin.com/diario/2006/05...m-01192090.htm
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Argentina licita construcción de su primer tren de alta velocidad
El Gobierno argentino convocó hoy la licitación para construir su primera línea ferroviaria de alta velocidad, un tendido de 710 kilómetros que unirá las tres ciudades más pobladas del país.
El
tren de alta velocidad entre Buenos Aires, Rosario y Córdoba 'será el primero de América Latina y el segundo del continente americano', destacó en un acto el secretario de Transporte de Argentina, Ricardo Jaime.
La licitación pública internacional es para el proyecto de ingeniería, la ejecución de la obra y la provisión del material rodante.
La adjudicación del proyecto está prevista para diciembre, mientras que la ejecución de la obra deberá iniciarse en el primer trimestre de 2007, con un plazo para la puesta en servicio de 30 meses.
Jaime, quien no precisó la inversión que demandará la nueva línea férrea, señaló que el proyecto generará 5.000 puestos de trabajo directos y 20.000 indirectos durante la construcción de la obra y 350 cuando el tren entre en funcionamiento.
'El Gobierno aspira con la implementación del tren de alta velocidad a dar un salto cualitativo que acompañe a la Argentina del futuro que estamos construyendo', indicó el funcionario.
El tendido estará dividido en dos tramos: el primero, de 310 kilómetros, unirá la capital argentina con Rosario en una hora y media, cuando actualmente un viaje en ómnibus entre ambas ciudades es de cuatro horas, y en avión entre 35 y 50 minutos depende el avión, mientras que el segundo tramo, entre Rosario-Córdoba, es de 400 kilómetros.
Todo el trayecto, que atraviesa la zona productiva más rica del país, se cubrirá con una frecuencia de tres trenes diarios.
Fuente:
http://actualidad.terra.es/nacional/...lta_869141.htm
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L'Argentine va se doter d'une ligne de train à grande vitesse, Alstom bien placé
LEMONDE.FR | 09.05.06 | 08h40 • Mis à jour le 09.05.06 | 09h21
Le secrétaire d'Etat aux transports argentin, Ricardo Jaime, a indiqué, lundi 8 mai, que l'Argentine a lancé un appel d'offres national et international pour faire construire une double voie électrifiée devant permettre à des trains à grande vitesse de circuler, à une vitesse maximale comprise entre 250 et 300 km/h, sur le tronçon de 310 kilomètres reliant Buenos Aires à Rosario, capitale argentine de l'industrie agroalimentaire, située plus au nord.
Dans un deuxième temps, le gouvernement envisage également de prolonger cette ligne, une première en Amérique latine, jusqu'à Cordoba, située plus à l'ouest, sur une distance totale de quelque 710 kilomètres. La décision sur ce deuxième tronçon n'a toutefois pas encore été prise et pourrait se limiter à une simple modernisation de la ligne existante, sans électrification, selon un communiqué du secrétariat d'Etat aux transports, qui fait état des deux options encore sur la table.
L'appel d'offres lancé par le gouvernement argentin stipule que les entreprises candidates doivent présenter un projet comprenant notamment la construction des lignes nouvelles, y compris sur le deuxième tronçon, la fourniture des matériels roulants et un financement du projet à hauteur minimum de 50 %.
Les entreprises intéressées ont jusqu'au 15 juin pour manifester leur intérêt, et le gouvernement fera savoir avant le 30 du même mois si elles répondent aux exigences techniques et économiques. Les entreprises retenues auront ensuite jusqu'au 26 octobre pour présenter leur projet. Le gouvernement argentin fera connaître son choix avant la fin décembre, et les travaux devront ensuite commencer début 2007 pour une mise en service trente mois plus tard.
ALSTOM BIEN PLACÉ
Le groupe français Alstom, qui a conçu le TGV français, semble particulièrement bien placé dans la course. Le ministre des affaires étrangères argentin, Jorge Taiana, qui a participé à la cérémonie de lancement de cet appel d'offres, a rendu lundi un hommage appuyé aux investissements français en Argentine. "Nous sommes très contents des investissements que sont en train de réaliser plusieurs entreprises françaises dans notre pays", a-t-il déclaré dans un communiqué à l'issue de cette cérémonie. Des responsables d'Alstom ont d'ailleurs participé à cette cérémonie pour "s'informer" des conditions de cet appel d'offres, selon ce même communiqué, qui qualifie Alstom d'un des principaux groupes économiques européens et annonce l'arrivée prochaine en Argentine de son président, Philippe Mellier.
Le corridor Buenos Aires-Rosario-Cordoba est l'axe de communication le plus important d'Argentine tant pour les passagers que pour les marchandises, précise ce communiqué. Ces trois villes sont les plus importantes du pays, avec un total de près de 15 millions d'habitants.
Le gouvernement argentin du président Nestor Kirchner a pris "la décision stratégique qui doit être considérée comme une politique d'Etat de reconstruire le système ferroviaire national, lequel a souffert d'une profonde décadence au cours de la décennie 80", a ajouté M. Jaime devant la presse. La décennie 80 correspond aux années de présidence de Carlos Menem, qui avait pris la décision de privatiser les chemins de fer argentins, lesquels, faute d'investissements, ont largement périclité.
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Argentine : appel d'offres pour un TGV
L'Argentine lance un appel d'offres international pour la construction d'une ligne TGV Buenos Aires- Rosario (310 km)
Un TGV (en gare de Bordeaux) - France 2
Il s'agit de construire une double voie électrifiée devant permettre à des TGV de circuler entre 250 et 300 km/h sur le tronçon reliant Buenos Aires à la capitale argentine de l'industrie agro-alimentaire, située plus au nord.
Cette ligne est une première en Amérique latine.
Elle pourrait être prolongée jusqu'à Cordoba, à l'ouest, à 710 km. La décision sur ce euxième tronçon n'a toutefois pas encore été prise et pourrait se limiter à une simple odernisation de la ligne existante, sans électrification, selon un communiqué u Secrétariat d'Etat aux Transports, qui fait état des deux options encore sur la table.
L'appel d'offres lancé par le gouvernement argentin stipule que les entreprises candidates doivent présenter un projet comprenant notamment la construction des lignes nouvelles, y compris sur le deuxième tronçon, la fourniture des matériels roulants et un financement du projet à hauteur minimum de 50%.
Les entreprises intéressées ont jusqu'au 15 juin pour manifester leur intérêt et le gouvernement fera savoir avant le 30 du même mois si elles répondent aux exigences techniques et économiques à la réalisation d'un tel projet. Les entreprises retenues auront ensuite jusqu'au 26 octobre pour présenter leur projet. Le gouvernement argentin fera connaître son choix avant la fin décembre et les travaux devront ensuite commencer début 2007 pour une mise en service 30 mois plus tard.
Alstom serait bien placée dans la course
L'entreprise française Alstom, qui a conçu le TGV français, semble particulièrement bien placée dans la course. Le ministre argentin des Affaires étrangères Jorge Taiana, qui a participé à la cérémonie de lancement de cet appel d'offres, a rendu lundi un hommage appuyé aux investissements français en Argentine . "Nous sommes très contents des investissements que sont en train de réaliser plusieurs entreprises françaises dans notre pays", a-t-il déclaré dans un communiqué à l'issue de cette cérémonie. Des responsables d'Alstom ont d'ailleurs participé à cette cérémonie pour "s'informer" des conditions de cet appel d'offres, selon ce même communiqué, qui qualifie Alstom de l'un des principaux groupes économiques européens et annonce l'arrivée prochaine en Argentine de son président Philippe Mellier.
Le corridor Buenos Aires-Rosario-Cordoba est l'axe de communication le plus important d'Argentine tant pour les passagers que pour les marchandises, a précisé ce communiqué. Ces trois villes sont les plus importantes du pays avec un total de près de 15 millions d'habitants.
Le gouvernement argentin du président Nestor Kirchner a pris "la décision stratégique qui doit être considérée comme une politique d'Etat de reconstruire le système ferroviaire national, lequel a souffert d'une profonde décadence au cours de la décennie 80", a ajouté M. Jaime devant la presse.
La décennie 80 correspond aux années de présidence de Carlos Menem, qui avait pris la décision de privatiser les chemins de fer argentins, lesquels faute d'investissements, ont largement périclité.
http://info.france2.fr/eco/20821734-fr.php
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Jaime firmó convenios en Francia por el tren Rosario-Buenos Aires
(Diario La Capital - Mar del Plata - 20/07/2006)
París- Argentina y Francia firmaron hoy un convenio de cooperación en el área de Transporte, que entre otros puntos, tiende a promover la construcción de líneas férreas de alta velocidad en el país, como la proyectada entre Rosario y Buenos Aires, y fomentar la reinstalación del tranvía en una zona de la Capital Federal.
El convenio fue firmado este mediodía en París entre el secretario de Transporte, Ricardo Jaime, que está en viaje oficial en París, y su par francés, Dominique Perben.
“Este convenio se inscribe en la estrategia integral del Estado en cuanto al transporte de pasajeros. Es el desafío de recuperar el prestigio que tuvo nuestro país en materia ferroviaria, que lo llevó en los 50 y 60 a ser uno de los primeros del mundo en ese ámbito”, dijo Jaime a Télam al explicar los alcances del acuerdo en la Embajada argentina en París.
El funcionario resaltó que “tras 15 años de un largo proceso de desinversión,
Argentina invertirá 16.000 millones de pesos en 6 años” en materia ferroviaria, y apuntó que el objetivo es “llegar al bicentenario con un tren de estas características” en referencia al servicio de alta velocidad que unirá Buenos Aires y Rosario.
“Debemos ser concientes de que no hay país en el mundo que pueda desarrollarse con un solo medio de transporte. Argentina fue uno de los pocos países del mundo que lo intentó en los 90 pero quedó demostrado que es imposible”, remarcó Jaime.
El titular de la Secretaria de Transporte viajó a Francia acompañado por el ministro de Obras Públicas de la Ciudad de Buenos Aires, Juan Pablo Schiavi, y por los titulares de las empresas que manejan las concesiones de los ferrocarriles metropolitanos.
El acuerdo franco-argentino prevé cooperación institucional, económica y técnica entre los dos países para el desarrollo del transporte ferroviario, aéreo, marítimo y portuario, rutas y también en el transporte de obras de arte.
El convenio servirá para potenciar el plan ferroviario argentino, especialmente el ambicioso proyecto de tren de alta velocidad que unirá la Capital Federal con Rosario y Córdoba.
Preben sostuvo que “nuestra intención es poner a disposición de Argentina toda la experiencia francesa en alta velocidad”, y resaltó
la iniciativa del grupo industrial Alstom y de los ferrocarriles galos SNCF, que están “muy interesados en este proyecto”.
Las poderosas Alstom y SNCF compraron los pliegos de la licitación del tren de alta velocidad, al igual que otras tres firmas europeas (la alemana Siemens, KAF de España e Imbroglio de Italia).
“Además, este acuerdo permitirá responder al deseo argentino de establecer estrechos vínculos con Francia en el ámbito del transporte ferroviario, pero también en transporte urbano, por carretera, marítimos y aéreos”, agregó Perben.
La licitación para el tren de alta velocidad fue abierta el 8 de mayo, el próximo 25 de julio será la recepción de ofertas para precalificar y el 15 de agosto se dará a conocer la adjudicación.
Las obras, que costarán entre 800 y 1.000 millones de dólares, comenzarán en el primer trimestre de 2007 y el 20 por ciento debe realizarse con componentes de fabricación nacional.
La agenda, coordinada por el embajador en Francia, Eric Calcagno, incluye también reuniones con autoridades de los Servicios de Tranvías, con las que
se trabajará en desarrollar el proyecto de utilización de este servicio en la zona de Retiro-Puerto Madero-Caminito.
El ministro de Obras Publicas porteño, Juan Pablo Schiavi, admitió que “estudiamos la posibilidad de implementar una red de tranvías en Puerto Madero, un barrio que se desarrollo enormemente pero que aún no tiene sistema de transporte”.
Recientemente, en otra visita, Jaime se reunió con los fabricantes de vagones de tranvías, ya que existe la intención de lanzar en el corto plazo la reimplementación de este medio de transporte en varias ciudades argentinas.
El convenio entre Francia y Argentina estipula también la promoción de las relaciones entre las empresas y al transporte ferroviario de carga y proyectos férreos urbanos e interurbanos, el suministro de equipamientos y la asistencia en la explotación de las redes.
Por otra parte, la misión oficial
mantendrá reuniones con autoridades de la Sociedad Nacional de Ferrocarriles, para avanzar en la compra de coches de pasajeros a ser usados en rehabilitación de servicios de media y larga distancia.
Argentina realizará una fuerte inversión en las siete líneas del área metropolitana, con la compra de casi 1.200 vagones usados a Portugal, España y
China, como así también 24 locomotoras, que permitirán renovar totalmente la línea San Martín.
Jaime regresará a Argentina el sábado. Antes de terminar su visita en París el funcionario se reunirá con representantes de Alstom, SNCF, la compañía estatal de Metro RATP y de la Alcaldía local.
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Prevén para 2009 la inauguración del tren de alta velocidad
(Diario INFOBAE - 20/07/2006)
Buenos Aires-Rosario será el primer tramo del convoy, que cubrirá los 310 kilómetros que separan las dos ciudades en 1 hora y 30 minutos con coches eléctricos
El Gobierno prevé inaugurar en 2009 el tren de alta velocidad que unirá Buenos Aires, Rosario y Córdoba, cuyas obras se realizarán en dos etapas, financiadas por el Estado y concesionadas luego a una empresa privada.
Buenos Aires-Rosario será el primer tramo del tren de alta velocidad, que cubrirá los 310 kilómetros que separan las dos ciudades en 1 hora y 30 minutos con coches eléctricos que alcanzarán una velocidad máxima entre 250 y 300 km/h.
Este trayecto contará con servicios durante todo el día y frecuencias de 1 hora, y será utilizado por entre 2 y 2,5 millones de pasajeros al año.
La segunda etapa,
Rosario-Córdoba, que se estimá tendrá un flujo de entre 230 y 400 mil pasajeros anuales, unirá las dos ciudades con una vía única y contará con tres servicios diarios.
Existen dos alternativas para el tramo Rosario-Córdoba. La primera prevé continuar el trayecto Rosario-Córdoba con un tren de alta velocidad y la otra, realizarlo con un tren diesel.
El costo de la obra completa estará a cargo del Estado, aunque la empresa adjudicataria deberá financiar el 50 por ciento de las obras, que será reembolsado por el gobierno argentino.
El año próximo el Gobierno llamará a licitación la concesión del tren, en la que "priorizaremos a los operadores locales", señaló Jaime.