Regardez ce bijoux que j'ai trouvé dans un forum (jme rapelle plus lequel) de skyscraperpage.....imaginez ca coin King Belvédère! Je jubile
...je n'ai pas trouvé de photo qui couvre bien le terrain car je voulais superposer l'hotel dessus...si vous pensez en avoir, ca serait gentil de la poster...bref dans ma tête ca me semble génial.....j'aime beaucoup le concept de petites boutiques et/ou mini-centre commercial au 1er étage...ca attirerait les gens au centre-ville ! (cliquez sur l'image pour l'agrandir, ca vaut la peine!)
PS: Hors sujet, en cherchant une photo du terrain King/Belv, je suis tombé sur deux...personnages.... qui dénigraient à coeur joie l'Université de Sherbrooke!....ils disaient qu'il n'y avait pas de débouchés et que l'un d'eux avait fait une erreure de venir étudier ici....ca m'a shocké !....Si l'Université est si moche que ça, pourquoi ils contruisent un campus à Longueil de plusieurs millions? Ca m'échape...ca doit être moi qui est dans le champs..... et ca doit être que de la poudre aux yeux que le CHUS est renommée et qu'il ne cesse de croître. De plus, jettez un coup d'oeil à cette étude :
Le marché du travail s'ouvre de plus en plus aux diplômées et diplômés de l'UdeSPresque tous les indicateurs relatifs à l'insertion professionnelle des étudiantes et étudiants de l'Université de Sherbrooke sont à la hausse depuis quatre ans. Les diplômées et diplômés sont de plus en plus nombreux à s'intégrer au marché du travail, leur emploi est davantage en lien avec leurs études et leur salaire, sans cesse croissant. C'est ce que révèle la dernière Relance menée auprès des diplômées et diplômés de 1er et 2e cycles de l'année 2004.
L'enquête révèle que, pour 97,2 % des bachelières et bacheliers disponibles au travail, l'obtention d'un diplôme leur a permis de décrocher un emploi dans les deux ans suivant la fin de leurs études. Dans 88,5 % des cas, il s'agit d'un emploi à temps plein.
Même le salaire est à la hausse. Alors qu'au début des années 1990, à peine 9 % des répondants gagnaient plus 42 000 $ par année, il s'en trouve aujourd'hui 30,1 % qui gagnent plus de 45 000 $.
Comme l'indique le tableau ci-contre, on note aussi une augmentation de la correspondance de l'emploi avec le domaine d'études et une diminution de la période nécessaire pour trouver un emploi : pour 91 % de ces diplômées et diplômés, cet emploi correspond au domaine dans lequel ils ont étudié.
1996 1998 2000 2002 2004 2006
% d'emploi 91 % 94 % 96 % 96 % 97 % 97 %
% correspondance
travail-études 85 % 86 % 90 % 92 % 91 %
91 %
Après la maîtrise
En ce qui concerne les étudiantes et étudiants ayant complété une maîtrise, les nouvelles sont aussi bonnes. L'étude révèle que 96,5 % des diplômées et diplômés de 2e cycle de la cohorte 2004 disponibles au travail (qui ne sont ni aux études, ni inactifs professionnellement) s'étaient trouvé un emploi en avril 2006. Parmi ces emplois, 89,5 % sont des emplois à temps plein et 78,9 %, des emplois permanents. Par ailleurs, 56,8 % des répondants gagnent plus de 51 000 $ par année.
Haha dans vos dents!
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