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Originally Posted by Acajack
- Le magasin Les Ailes de la Mode de la rue Ste-Catherine, en dépit de ses difficultés, est toujours ouvert.
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après s'être mis sous la protection des lois de l'insolvabilité pour mettre en oeuvre un plan de réarrangement avec les créanciers - et après s'être départie de quasiment toutes les chaines de magasins antérieurement appartenant à la compagnie (Les Ailes/San Francisco). Ottawa a été abandonné avant le plan de redressement, si je me souviens bien, pour essayer de sauver le magasin de MTL
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Originally Posted by Acajack
- Je sais qu’il y a beaucoup de francophones dans la partie est d’Ottawa; j’y ai même vécu la majeure partie de ma vie. Cela dit, ces gens sont des Franco-Ontariens et non des Québécois. Il y a certes des exceptions mais en règle générale leur mentalité et leurs goûts sont assez différents même de ceux de leurs cousins québécois juste de l’autre côté du pont. Et encore là, on ne parle en chiffres bruts que d’un cinquième ou d’un sixième de la population de la Ville de Gatineau. À eux seuls ils ne sauraient faire vivre un magasin de cette envergure.
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non mais eux avec les anglo-ontariens et les québecois (anglo et franco) qui traverseraient. t'as surement raison jusqu'à un certain point dans ce que tu dis. c'est juste que dans ton premier post tu semblais dire que les franco-ontariens pourraient aussi jouer un rôle important pour faire bien partir un magasin Simons du côté de Gatineau. et ensuite dire que la cientèle locale dans le coin du centre d'achat Saint-Laurent est un clientèle anglophone. j'ai peut-être mal compris ton post, mais je voulais soulever qu'à ce titre, il y a une grande différence entre Bayshore (Nepean et Ottawa ouest), et le centre d'achat Saint-Laurent dans l'est d'Ottawa.
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Originally Posted by Acajack
- Simons a certes été fondé par une famille anglophone, devenue essentiellement biculturelle (à la Lawrence Cannon) au fil des générations. De plus, le marché principal qu’ils desservent depuis toujours est francophone à environ 98 %. C’est ce qu’ils connaissent le mieux. Je ne mets pas en doute leur capacité à s’adapter à un nouveau marché, fût-il ontarien, américain ou sri lankais. Mais Simons est fondamentalement une chaîne québécoise, malgré son nom.
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bon point.
je pense quand même que les entrepreneurs québécois (anglo et franco) ne devraient pas avoir peur de faire de l'expansion en "nouveau" territoire. il y en a qui vont catcher et réussir, et d'autre qui vont planter. mais c'est certain que des commerçants d'en dehors du québec font (éventuellement) le saut et s'établissent au québec, ce qui crée de la nouvelle concurrence aux commerçants locaux... ce qui est une bonne chose. mais il faut aussi qu'au moins certains de nos commerçants, pour pouvoir faire une expansion saine, s'étendent en dehors de notre province pour capturer une part du marché des provinces/états voisines aussi