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Pour moi, il était un industriel de la nouvelle-angleterre qui avait tout de suite repéré le potentiel de la Magog et qui avait décidé d'y dévelloper des industries et de fonder un vrai village. J'me doutais simplement pas qu'il était un cultivateur... |
Sherbrooke vieillit moins vite que le reste du Québec
Même si elle est la région métropolitaine de recensement du Québec qui a connu le plus haut taux de croissance, Sherbrooke n'échappe pas pour autant au vieillissement de sa population, un phénomène qui se constate partout sur le territoire canadien. C'est ce qu'ont pourrait retenir des données du recensement de 2006 en ce qui concerne l'âge et le sexe de la population canadienne qu'a publiées Statistique Canada, hier matin. Sur cette lancée, on pourrait toutefois ajouter que ce vieillissement continu de la population canadienne et estrienne ne se fait pas de manière égale sur le territoire puisqu'il est plus prononcé dans des communautés comme Thetford Mines et Windsor, par exemple, alors que Stoke fait figure de fontaine de Jouvence. Dans la région métropolitaine de recensement de Sherbrooke, rapporte Statistique Canada, l'âge médian était de 40,2 ans en 2006, légèrement moins que les 41 ans de la moyenne des Québécois. En 2001, lors du recensement précédent, l'âge médian s'établissait à 38,8 ans, à Sherbrooke. Sur ce territoire, on comptait 31 305 enfants de moins de 14 ans. Ces jeunes représentaient 16,7 pour cent de la population totale, soit moins que le 17,8 pour cent de 2001. De leur côté, les 27 095 personnes de plus de 65 ans formaient 14,5 pour cent de la population sherbrookoise, comparativement à 13,5 pour cent en 2001. Le pourcentage atteint en 2006 est pratiquement le même que celui de l'ensemble du Québec où les 65 ans et plus forment 14,3 pour cent de la population totale (13,3 pour cent en 2001). Dans la région de Sherbrooke, la proportion des femmes (96 895 femmes) et des hommes (90 055 hommes) est demeurée inchangée depuis le recensement de 2001. Les femmes représentent 51,8 pour cent de la population et les hommes, 48,2 pour cent). Stoke la jeune À Stoke, la population a aussi vieilli depuis 2001. Toutefois, elle demeure étonnamment jeune par rapport à la population des autres communautés de la région. En effet, dans cette municipalité, les 200 personnes de plus de 65 ans ne forment que 7,4 pour cent de la population, comparativement à 14,3 pour cent dans l'ensemble du Québec. En 2001, les personnes âgées représentaient seulement 5,4 pour cent de la population. De même, les 570 enfants de 14 ans et moins comptent pour 21 pour cent de la population. Là aussi, on constate un repli par rapport à 2001 où ils représentaient 23 pour cent de la population. Curieusement, il y a plus d'hommes que de femmes à Stoke. À cet endroit, Statistique Canada a recensé 305 femmes et 405 hommes. Les femmes forment donc 48,2 pour cent de la population de Stoke; les hommes, 51,8 pour cent. À l'opposé, Thetford Mines affiche un rapide vieillissement de sa population. Là, les 5725 personnes de plus de 65 ans représentent 22,3 pour cent de la population, comparativement à 19,9 pour cent en 2001. Pendant ce temps, les 3285 enfants de moins de 14 ans ne forment plus que 12,8 pour cent de la population, comparativement à 13,6 pour cent, cinq ans plus tôt. À Thetford Mines, on recense 13 505 femmes (52,5 pour cent de la population) et 12 200 hommes (47,5 pour cent). À Windsor, le recensement de 2006 a compté 960 personnes de plus de 65 ans (18,3 pour cent de la population ainsi que 890 jeunes de moins de 14 ans (17 pour cent). Dans cette municipalité, les 2680 femmes forment 51,1 pour cent de la population. Les 2560 hommes, eux, représentent 48,9 pour cent de la population totale. |
Loblaw demande un permis pour démolir l'ancien Canadian Tire
L'ancien Canadian Tire situé à l'intersection King/Jacques-Cartier devrait bientôt crouler sous le pic des démolisseurs. La compagnie Loblaw, propriétaire des lieux, a récemment demandé un permis de démolition à la Ville de Sherbrooke, a appris La Tribune. "La demande est en traitement, mais le permis n'a pas encore été accordé", confirme le nouveau directeur du service de la planification et du développement urbain de la Ville, Sylvain Boulianne. Avant d'émettre le permis de démolition, la compagnie Loblaw, qui possède la banière Provigo, devra notamment préciser à la Ville ce qu'elle entend faire de sa propriété, acquise au coût de 8 M $. La rumeur veut qu'un supermarché Loblaw soit reconstruit sur le site, mais la Ville n'a toujours pas eu de confirmation à cet effet. Chose certaine, la bâtisse devrait avoir une superficie d'environ 50 000 pieds carrés. Du côté de Loblaw, la porte-parole Josée Bédard soutient que la compagnie n'a "pas d'agenda précis à donner" concernant son projet, qu'elle qualifie de "complexe". Par ailleurs, "il est beaucoup trop tôt pour identifier la bannière" du supermarché qui sera construit à cet endroit, mentionne-t-elle. En janvier dernier, le comité de démolition de la Ville a approuvé la démolition du bâtiment. Loblaw a jusqu'à janvier prochain pour procéder. Dès le moment où le Canadian Tire sera rasé, le géant de l'alimentation disposera d'une année supplémentaire pour construire un nouveau bâtiment sur son terrain. Pour que le projet de Loblaw soit accepté par la Ville, le nouveau bâtiment devra vraisemblablement voir le jour non pas au fond du stationnement, mais plutôt en bordure de rue. Le même principe a été appliqué au futur complexe de la santé présentement en construction de l'autre côté de la rue King Ouest, sur le site de l'ancienne église Saint-Jean-de-Brébeuf. Pour ce faire, Loblaw devra vraisemblablement acquérir le terrain laissé vacant par Petro-Canada, à l'angle des rues King Ouest et Jacques-Cartier. Ce terrain ne fait plus partie des plans de la pétrolière, mais il n'est pas encore à vendre, affirme le porte-parole de Petro-Canada, Michael Southern. Avant de céder son terrain, Petro-Canada devra s'assurer qu'il n'est pas contaminé, indique M. Southern, ce qui impliquera nécessairement certains travaux sur le site. M. Southern ne peut préciser d'échéancier quant à la réalisation de ces travaux. En théorie, les employés d’Astral Média et de la Fédération des caisses populaires Desjardins doivent utiliser le stationnement du Canadian Tire jusqu’en septembre. Ils pourront ensuite garer à nouveaux leurs véhicules de l’autre côté de la rue King Ouest, dans le stationnement adjacent au futur complexe de la santé présentement en construction. |
Le coin va vraiment paraître mieux si ils sont capables de bien intégrer le nouveau Loblaw près de la king comme le bâtiment présentement en construction. Par contre j'aurais aimé mieux si l'église aurait été préservée et que le bâtiment de santé soit construit dans l'autre coin en diagonale où qu'il y a présentement un Couche tard. L'ancien Canadien Tire fait vraiment dure.
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Stoke la jeune mdr! C'est mon village ça calisse.
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Ya plus de jeunes la bas... on devrait y déménager le centre-ville et créer un gros DIX30 a un milliard direct a coté.
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Le sud du centre-ville adandonné?
Le centre du centre-ville de Sherbrooke serait-il laissé pour compte? Quelques commerçants ayant pignon sur rue près de l'intersection King/Wellington prétendent que oui, tandis que les organismes de promotion du centre-ville et le conseiller municipal du secteur jurent le contraire. "Ici, le vinyle est loin d'être mort", clame le slogan de la boutique Le Disk'hier, située tout en bas de la rue King Ouest, à quelques dizaines de mètres du terminus de la STS. Si les vieux 33 tours y sont toujours vivants, le modeste magasin, lui, poussera son dernier souffle dans quelques semaines. "Cause de décès: Peroville", peut-on lire dans la vitrine du commerce spécialisé dans la vente, l'achat et l'échange de disques et de livres. Malgré la faute d'orthographe, on comprend que le propriétaire du Disk'hier, Jacques Côté, ne porte pas l'administration Perrault dans son coeur. M. Côté la tient responsable de la fermeture prochaine de son commerce, né au début des années 2000. "Ce n'est pas vivable! On est en train de faire mourir le centre-ville et on ne fermera pas sans rien dire", dénonce le propriétaire, qui a lui-même contacté La Tribune pour se vider le coeur. M. Côté en a particulièrement contre le fait que le centre-ville se développe maintenant autour de l'hôtel de ville, vers la rue Frontenac et l'extrémité de la rue Wellington Nord. La Cité des rivières tente notamment d'y attirer les touristes en les faisant longer la gorge de la rivière Magog à partir du lac des Nations. Pendant ce temps, les visiteurs délaissent le carrefour névralgique des rues King et Wellington, dénonce le commerçant. Depuis que la Société de transport de Sherbrooke (STS) a ouvert une nouvelle station d'échanges devant le Cégep de Sherbrooke, l'été dernier, les clients ont déserté la boutique, ajoute M. Côté. Auparavant, alors qu'ils transitaient tous par la station du centre-ville, les usagers de la STS étaient nombreux à s'y rendre en attendant leur correspondance, affirme-t-il. Cohabitation nécessaire au Tourne-livre Du côté du Tourne-livre, au coin des rues King Ouest et Wellington Nord, la copropriétaire Chantal Ouellet tient un discours semblable, quoique plus nuancé. "On dirait que la Ville s'organise pour que la clientèle délaisse le centre-ville", laisse-t-elle entendre, en ajoutant que son commerce perd systématiquement des clients depuis deux ou trois ans. Pour survivre, le Tourne-livre a dû faire des compromis, notamment sur son espace de vente. Le commerce partage désormais ses locaux avec Nocturne, un club vidéo spécialisé dans l'horreur et les films de répertoire qui était auparavant situé un peu plus loin sur la rue Wellington Nord. D'après la copropriétaire du Tourne-livre, le développement du plateau Saint-Joseph a nui aux commerçants du centre-ville. Chantal Ouellet pointe également du doigt le développement de la Cité des rivières vers la rue Frontenac et les modifications effectuées par la STS. Elle souhaite que l'attrait que représente maintenant l'extrémité nord de la rue Wellington Nord se propage tranquillement vers le sud, en direction de la rue King Ouest. Même si elle est critique envers l'administration municipale, Mme Ouellet salue néanmoins la construction des résidences étudiantes L'Estudiantine et du Centre de production des arts de la scène Jean-Besré au centre-ville, du côté de la rue Wellington Sud. Il s'agit selon elle de "bons coups à répéter". Pour sa part, le gérant du dépanneur Accommodation Franclo, Daniel Blais, n'y va pas par quatre chemins. Par ses décisions, l'administration Perrault "élimine tranquillement le centre-ville", prétend-il. En activité depuis huit ans, ce dépanneur du centre-ville situé en haut de la côte de la rue King Ouest fermera définitivement ses portes en août, à moins qu'il ne soit vendu d'ici là. |
Le monde est cave en esti... Perrault peut pas être partout en même temps, donner de l'argent ici et là à tout bout de champ. Il a mis l'emphase sur le secteur de Frontenac car il est plus prometteur tout simplement, mais ces innocents là semblent oublier que grâce à lui un hôtel de 8 étages va pousser dans leur cour bientôt. C'est Perrault qui a ressucité le centre-ville! Laissons-le finir de nettoyer le gâchis vers la gorge de la Magog (qui est devenue belle en sacre depuis le temps), après on verra ce qu'on peut faire avec le reste. Quand je vois l'autre con chiâler parce qu'il a fait une nouvelle station de bus au cégep :sly: Il s'imaginait quoi lui, qu'à l'hôtel de ville le maire allait se lever pis dire qu'on peut pas faire ça parce que ça allait nuire au Diskhier?
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Le maire entre chez Pizza Delight pour manger quelque chose. Le propriétaire (franchisé) du restaurant est présent et voit le maire entrer. La conversation entre les deux ressemble à ceci : Proprio : T'as du front tout le tour de la tête de venir ici! Tu mangeras pas icitte! Pas question de te servir! Maire : Ben voyons, qu'est-ce qui se passe? Proprio : Tu laisses ouvrir un Boston Pizza à côté de mon restaurant! Les restaurateurs chiâlent parce que le maire laisse ouvrir de nouveaux restaurants... Faudrait que le maire se lève et dise non à toute nouvelle compétition! :koko: |
Je suis d'Accord pour dire que la Wellington Sud pi une parti de la king fait dure. Sur la well sud par exemple,(le maysen je pence) ya un bâtiment qui n'a plus de toit.. On voit le ciel à travers les fenêtres du dernier étage..:koko:
Ce n'est sûrement pas la faute du maire, si ya une personne qui veut refaire vivre le centre-ville c'est sûrement lui. Les dernières années il a concentré tous ses efforts à la cité des rivières. Quand la cité des rivières va être complétée et va commencer a attirer des touristes le reste du centre ville va se développer avec. Reste à voir combien de temps sa va prendre... c'est sur que c'Est un peu décevant de voir qui va avoir un autre local de vide au centro, mais personnellement j'en est rien à chier du diskhier. P.S La crème glacée à la gare est vraiment bonne. Elle coûte cher mais j'en ai pris hier et la crème glacé au nutella...:slob: est juste trop bonne pour être vrai. le sorbet au citron aussi j'ai bien aimé. |
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Pour ce qui est des points que vous avez tous apportés, je suis d'accord avec vous. Il est impossible d'investir partout a la fois (avec les moyens financiers qu'on a) en croyant que tout va se faire par magie. En concentrant le dévelloppement, on rassemble tous nos effort a un phénomène d'attration, qui au final, aura un effet d'entrainement autour. C'est bien connu ! Et puis de toute facon, comme je le disais, avec le budjet limité, les moyens sont limités aussi. Laissons Perrault faire son travail. De toute facon, faudrait vraiment être ''cave'' pour penser qu'un maire voudrait la faillite de son centre-ville :koko: |
hmmm.. ya un de mes amis qui travail dans une genre d'imprimerie qui m'as dit qu'un gars a fait imprimer genre 300 feuilles pour signer une genre de pétition pour faire démissionner le maire...:deal: sûrement les personnes de Deauville pi se coin la qui n'ont pas encore digéré les fusions et la hausse de taxe.. et les 3 millions que la ville met par année dans la cité des rivières.
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La solution que je propose dans ce cas c'est de construire un nouveau barrage sur la Magog vers Deauville et de les nayer. Le problème c'est que des milliers de gens "innocents" périraient aussi.
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Je crois que dans un cas comme ca, Perreault devrait peut-être prendre le temps de se rapprocher de la population.
Perreault est un excellant maire, avec des idées, des projets et des ambitions grandioses, mais réalistes. Bref, c'est un des meilleurs maire que la ville de Sherbrooke ait eu. Ses seuls défauts sont qu'il est trop loin de la population. A cause de ca, il semble (pour le commun des sherbrookois) être quelqu'un de distant qui se fou de la population (ce qui est faux). Pour régler ce problème, il devrait trouver un moyen de se rapprocher et par cette même occasion, il aurait plus de facilité a vendre ses idées (autre point ou il y a des lacunes d'ailleur)... ..J'ai peur pour les prochaines élections... Ca va surement être un extremiste qui va être élu... |
J'fais rarement de la photo, mais cette fois ci, j'avais mon kodak et je passais par la donc...
Le lac des Nations http://img452.imageshack.us/img452/8754/ldn1jb0.jpg Domaine Howard http://img213.imageshack.us/img213/5034/howard1md1.jpg Un petit pano cheap des Terrasses du lac http://img526.imageshack.us/img526/3020/tdl1bi1.jpg voila.... |
Sherbrooke figure parmi les plus sécuritaires
Sherbrooke figure parmi les villes les moins criminalisées au Canada. Si l'on fait abstraction des introductions par effraction, Sherbrooke se situe en dessous de la moyenne canadienne pour les principales infractions du code criminel. Pour le taux de criminalité total, la principale ville estrienne se situe au sixième meilleur rang au pays avec un taux de 5491 infractions au code criminel par 100 000 habitants en 2006. Selon les données publiées par Statistiques Canada, c'est particulièrement grâce aux bons résultats sur le plan des crimes de violence que Sherbrooke demeure l'un des endroits au pays où il y le moins de crimes contre la personne commis. Un seul homicide Le meurtre de Faye Geraghty commis par Jeffrey Loach en juillet 2006 dans l'arrondissement de Lennoxville figure dans la colonne homicide et fait grimper ce taux à 0,7 par tranche de 100000 habitants. Seules les villes de Trois-Rivières et Saguenay n'ont eu aucun meurtre sur leur territoire en 2006. Malgré un portrait plus que positif pour Sherbrooke, les statistiques pour les deux villes d'ampleur comparables que sont Trois-Rivières et Saguenay sont supérieures sur tous les plans. Les vols qualifiés (avec violence) sont aussi peu nombreux à Sherbrooke en comparaison avec les 27 autres principales villes du pays. Le taux par 100 000 habitants est de 69, alors que le territoire patrouillé par le Service de police de Sherbrooke se situe au cinquième meilleur rang au Canada avec 630 crimes de violence par 100 000 habitants. La moyenne canadienne à ce chapitre concernant le taux de crimes de violence est de 951. Au chapitre des crimes contre les biens, le portrait demeure satisfaisant, alors que 2895 crimes contre les biens ont été signalés aux autorités. La moyenne du pays étant de 3588 par 100 000 habitants. C'est au chapitre des introductions par effraction et des vols de véhicules à moteur que le bilan pour Sherbrooke rattrape la moyenne canadienne. Pour les vols de véhicules à moteur, le taux est de 451 par 100 000 habitants alors que la moyenne se situe à 487. Des voleurs organisés "À Sherbrooke, des réseaux de vols de véhicules sont implantés. Nos enquêteurs travaillent sur ce plan pour contrer la problématique", explique le porte-parole du Service de police de Sherbrooke, Martin Carrier. Sherbrooke se retrouve sous la moyenne du pays seulement pour les introductions par effraction avec 810 par 100 000 habitants alors qu'il en survient 768, toutes proportions gardées, dans le reste du pays. À ces chapitres à l'échelle du Québec, Sherbrooke est dépassé seulement par Montréal qui compte 902 introductions par effraction et 646 vols de véhicule par 100 000 habitants. "Est-ce que c'est parce qu'il survient davantage de ces crimes à Sherbrooke que le nombre est plus importants ou seulement parce qu'ils sont davantage dénoncés? Notre division de sécurité des milieux travaille beaucoup en proximité avec la population ce qui incite la dénonciation des crimes", mentionne le porte-parole du SPS. |
nice tes photos :tup: j'aime beaucoup elle du domaine Howard
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Un article qui était dans la tribune il y a une coupe de jours que je n’es pas transcris parce que je n'avais pas le temps
Projet complexe des Nations LES PROMOTEURS DÉCOUVRENT LA RUE RAND Le complexe des nations, un ambitieux projet interculturel combinant des chambres 4 étoiles, un resto bar et une salle multifonctionnelle, pourrait voir le jour à quelques pas du nouveau marché de la Gare. À l’origine, les promoteurs du projet avaient l’œil sur un entrepôt de la Ville de Sherbrooke situé à l’angle des rues Richmond et George, à proximité de la passerelle des Draveurs et du nouveau bureau d’information touristique. Le directeur général adjoint de la ville, rené allaire, leur a plutôtfait découvrir une bâtisse désaffectée du Groupe St-pierre située à l’angle des rues de la Rand et de Courcelette. Seule la voie ferrée sépare ce bâtiment du nouveau marché de la Gare de la rue Minto. Une passerelle pourrait éventuellement relier les 2 sites. Pour nous, ce bâtiment serait l’idéal, convient Boudacar Cissé, l’un des promoteurs du projet piloté par le membre de la coopérative de solidarité. Évoqué lors du Sommet de Sherbrooke, le complexe des Nations se veut un lieu d’échanges interculturels pour les différentes communautés culturelles et les Québécois, basé sur le concept de l’économie social. Ce projet nécessiterait un investissement d’environ 4M$. Il regrouperait une auberge de 40 chambres thématiques (aménagées en fonction des traditions cultures et monde de vie de différents pays, un restaurant-bar axé sur la fine cuisine ethnique et une salle multifonctionnelle de 200 places. On pourrait aussi y retrouver des espaces commerciaux et à bureaux pour des organismes communautaires de même qu’une vitrine de produits équitables. Le montage financier du projet est déjà ficelé, indique M.cissé. ne reste plus qu’à acquérir la propriété pour concrétiser le projet. Si tout ce déroule comme le souhaitent les promoteur, la construction débuterait le printemps prochain pour une ouverture à l, automne 2008. Dans son montage financier, la coopérative de solidarité estimait les coûts de construction à 2.5M$. |
Encore bien des obstacles à surmonter
Pour que le complexe des Nations se concrétise à proximité du marché de la gare, les promoteurs devront surmonter certains obstacles D’une part, la coopérative de solidarité souhaite que la ville l’aide financièrement à acquérir la propriété du 780 rue de la Rand, détenue par le Groupe St-Pierre Le représentant des promoteur, évoque l’idée que l’administration Perrault leur accorde un congé d’hypothèque pendant une vingtaine d’année, ce qui est très loin d’être acquis puisque le bâtiment n’appartient par à la ville PAS À VENDRE d’autre part, la propriété ‘ n’est pas nécessairement à vendre pour l’instant, laisse entendre le responsable des projets spéciaux du groupe Si-pierre Joint par la Tribune, M Salvail était surpris d’apprendre que la propriété était identifiée comme étant à vendre sur le site Internet du Groupe St-Pierre . Quelques minutes plus tard. Le site avait été modifié et la propriété n’y figurait plus En 2003, le groupe st-pierre avait annoncé que ce bâtiment serait transformé en condos. Une grande affiche est d’ailleurs toujours visible sur la bâtisse. Le projet immobilier a cependant été abandonné par la compagnie. :tantrum: Avant de prendre quelque décision que ce soit, le groupe si-pierre compte attendre que la ville définisse précisément la vocation qu’elle souhaite donner au vaste secteur industriel situé sur la rive sud-est du lac des Nations. La plupart des bâtiments industriels y sont détenus par le Groupe, compagnie sherbrookoise ayant notamment transformé les anciennes usines Hooper et Unitcast en complexe commercial. Les élus se pencheront cet automne sur l’avenir de ce secteur riverain qui à long terme perdra probablement sa vocation industrielle. Des habitation à logement multiples des bureau et des laboratoire de recherche pourraient notamment de substituer aux industries de ce secteur au fort potentiel. |
Les élus se pencheront cet automne sur l’avenir de ce secteur riverain qui à long terme perdra probablement sa vocation industrielle. Des habitation à logement multiples des bureau et des laboratoire de recherche pourraient notamment de substituer aux industries de ce secteur au fort potentiel.
oooh yeah ! Ca rock ca !... En effet, c'est un secteur qui, selon moi, est un des plus prometteurs ! -Aux portes du Centre-ville -Sur la rive du lac des Nations -Relativement près de l'UdeS et d'une grande population étudiante -a deux pas d'un des grands parcs de Sherbrooke : le mont Bellevue Si ya pas une tour de 14 étages qui pousse dans le bout de la Rand, y'en aura une a coté ! |
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Sherbrooke ! Ville de villégiature ou il fait bon vivre.
J'ai vécu a quelques endroits au Québec et jusqu'a maintenant, pour moi, cette ville est indétronable. Tes photos sont superbes el calmar. .. C'est fou comment ca arrête pas de s'étendre Rock Forest... ca en devient franchement inquêtant a mon avis... |
Des touristes enchantés a Sherbrooke..
La c'est mon égo de sherbrookois qui ressort la... J'ai rencontré un couple de touristes qui sont tombé amoureux de la ville, ainsi qu'une fille originaire de Gatineau qui a choisi d'emmerder cette ville poure venir vivre ici... Pour la fille, je l'ai rencontré a un arrêt de bus au centre-ville. Ma première intention était d'apprendre a la connaitre et de possiblement en faire ma blonde, mais j'ai découvert entre temps qu'elle avait un chum... merde... mais tout de même, elle est venue s'asoir a coté de moi dans le bus et a commencé a me parler... Pour la partie interessante de l'histoire avec elle, elle m'a dit qu'elle vivait a Sherbrooke depuis juillet (elle a passé sa vie a Gatineau)... je lui ai demandé comment elle trouvait sa nouvelle ville d'adoption et ses commentaires étaient très favorables : beaucoup plus jolie que Gatineau et surtout, beaucoup plus vivant !... Elle adore le centre-ville pour la vie qu'on y trouve. Et c'est pas étonant, quelle ville au Québec peut se venter d'avoir des concerts gratuits a chaque jour a présenter a la population (a la place de la cité de Sherbrooke), outre tous les bars, restos et lieux de culture ? Pour ce qui est de la population sherbrookoise, elle préfère de loin ici, disant qu'a Gatineau tous le monde est dans sa bulle, tandis qu'ici tous le monde parle a tous le monde !... Normal, avec un population étudiante composant 25 % de la population de la ville, donc 60 % viennent de l'extérieur de la région, t'as pas le choix d'être sociable si tu veux te faire des amis !! Après ca, j'ai décidé d'aller au parc du mont Bellevue, pour le découvrir plus en profondeur. J'ai été vraiment surpris. C'est vraiment un lieu de villégiature hors du commun et on y trouve tout un réseau de sentier pédestre et de vélo de montagne pour les adeptes. Le parc du Mont Bellevue est, a mon sens, beaucoup mieux que celui du mont royal (appart pour le belvedère), puisqu'ici on peut pratiquer le tir a l'arc, le vélo de montagne et le ski en hiver (chose impossible a Montréal) et ce, a 5 minutes du centre-ville ! Dans le parc, j'ai rencontré un couple de touristes et je les ais amenés au belvedère au sommet de la montagne. Ils étaient super excité de voir la vue sur le centre-ville et surtout, sur les dixaines de montagnes autour, dont le Mont Mégantic. Je les ai ensuite reféfé au marché public et a Beauvoir. Ils sont littéralement tombé amoureux avec la ville et ont trouvé que j'étais un excellant guide (oh yeah!) et m'ont remercié pour toute l'nformation que je leur avait donné a propos de l'histoire de la ville, en lien avec son architecture et tout le tralala. Ils sont allés dans la gorge de la rivière magog aussi au centre-ville, ils ont adorés. Étant des villégiateurs, ils ont étés enchanté du fait que Sherbrooke soit au millieu de la forêt, qu'on y trouve des parcs et des promenades en si grand nombre, et ont été surpris de l'excellante qualité de vie qu'on y trouvait ici... Oh yeah !... ok la j'met mon égo a off... |
je ferais quand même pas le même move qu'elle.elle doit venir du secteur Gatineau la fille.c'est cependant vrai que c'est très froid ici.
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Gatineau fait partie d'une ville de 1,2 million d'habitants, normal que les contacts entre les gens n'y soient pas les mêmes j'imagine. Malgré le fait que j'aime Sherbrooke je suis plus ou moins d'accord avec cette fille. À mes yeux Gatineau est la seule ville où je vivrai peut-être plus tard avec Sherbrooke, cette ville est magnifique et agréable.
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Je n'y suis personnellement jamais allé, alors j'pourrais pas dire...
Mais c'est néanmoins une ville qui m'a toujours attiré... |
J'aime Sherbrooke, mais y'a du monde dans cette ville qui ont pèté les plombs ! ah ah !
Le commerçant Côté réclame «une enquête publique» de la police La Tribune SHERBROOKE - Après avoir exigé la démission du maire de Sherbrooke en bloquant la rue King Ouest, la semaine dernière, le commerçant Jacques Côté demande maintenant "une enquête publique de la GRC et de la SQ". Le but de cette enquête? Faire la lumière sur la "tentative de tuer le centre-ville" mise en place par l'administration Perrault par l'entremise de la Cité des rivières. Le propriétaire du commerce Le Disk'hier en a étonné plusieurs en formulant cette demande, lundi soir, lors de la période de questions de la séance du conseil municipal. Tant le maire Jean Perrault que l'élu du centre-ville, Serge Paquin, ont rejeté cette idée du revers de la main, rappelant que la Ville de Sherbrooke avait fait beaucoup pour le centre-ville au cours des dernières années. Le maire Perrault s'est bien défendu de manquer de leadership à l'égard du centre-ville, comme le répète depuis trois semaines le propriétaire du Disk'hier. Le maire a dit comprendre "la détresse individuelle" de M. Côté, qui fermera les portes de son commerce de disques et de livres usagés dans quelques semaines, faute de clients. La Ville a un rôle à jouer dans le développement du centre-ville, mais les commerçants doivent aussi faire des "efforts individuels" pour attirer la clientèle, estime M. Perrault. Au cours des dernières années, la Ville a "investi énormément" d'argent au centre-ville, mais il reste "encore du travail à faire", croit par ailleurs le maire. À ce sujet, le propriétaire du commerce Musique Cité, Sylvain Lecours, a tenu à sensibiliser les élus sur ce qu'il considère être de nombreux exemples de négligence au centre-ville: excréments, vandalisme, graffiti, etc. "Le problème est plus grave qu'il n'y paraît", a-t-il insisté, photos à l'appui, tout en demandant la collaboration du maire pour que le centre-ville puisse se refaire une beauté. Pour sa part, le président de la Société de développement commercial du centre-ville de Sherbrooke, Sylvain Brochu, a proposé la formation d'un comité de travail visant à poursuivre le développement du centre-ville. Des gens d'affaires du centre-ville, le conseiller Serge Paquin et un autre représentant de la Ville pourraient faire partie de ce comité, suggère M. Brochu. L'idée a été bien accueillie par le maire Perrault. |
ouf il est enragé le monsieur.
je ne veux pas lui faire de peine, mais ici aussi, les disquaires/libraires indépendants en arrachent, et ce depuis.. 20 ans!! c'est encore pire depuis les 5 dernières années avec les sites d'échanges de fichiers, les radios Internet, les ipods, l'achat en ligne et les myspace. |
Le gars mélange les choses... Il faut lui pardonner, il est idiot. Je l'ai vu aux nouvelles tout à l'heure, ça faisait pitié. Je crois pas qu'il a toute sa tête.
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Il dit que les investissements ne se font qu'au niveau de Cité des Rivières et que le Sud du centre-ville est oublié..
Ah ouais ? Alors, l'implantation d'une SAQ sélection, de pavement de la rue wellington Sud, la construction du centre de production de la scène Jean-Besré, la construction du Maxi, et jusqu'a une certaine limite, l'agrandissement du CHUS Hotel-Dieu, c'est quoi ca si c'est pas des efforts pour revitaliser le sud du centre-ville ? |
Centre-ville: un immeuble retapé pour 3 M$
http://img329.imageshack.us/img329/7939/bildexn0.jpg La Tribune SHERBROOKE - Au moment même où une poignée de commerçants dénoncent le laisser-aller de l'administration Perrault envers le secteur King/Wellington, des promoteurs investissent 3 M $ pour retaper de fond en comble un bâtiment ancestral situé exactement dans le même secteur. Leur confiance envers le centre-ville est palpable. De l'extérieur de cet immeuble situé à l'angle des rues King Ouest et des Grandes-Fourches Nord, rien n'y paraît, si ce n'est la présence de quelques véhicules d'ouvriers spécialisés en démolition et de rubans jaunes pour éloigner les curieux. À l'intérieur, par contre, le bâtiment centenaire se refait rapidement une beauté. Aux deuxième et troisième étages, il ne reste que les colonnes et la structure en briques. Disparus, les murs intérieurs, le filage, la plomberie. La démolition du rez-de-chaussée est également passablement avancée. Hier, une quinzaine d'ouvriers s'affairaient à dégarnir le quatrième et dernier étage du bâtiment, qui abritait jusqu'à l'automne dernier le bureau du député fédéral Serge Cardin. D'ici la fin de l'année, au terme de la reconstruction, l'édifice comptera entre cinq et dix locaux commerciaux au rez-de-chaussée et au deuxième étage. Plutôt que d'être offerts en location, ces locaux seront vendus. La moitié environ ont déjà trouvé preneurs. Le bar Le Riverain et le bar laitier ont fermé leurs portes, mais la boutique érotique L'Extase et l'école de conduite Technic pourraient demeurer sur place. Quant à eux, les deux derniers étages du bâtiment comprendront entre 15 et 20 unités de condominium avec accès à une terrasse sur le toit de l'immeuble. Sherbrookois d'origine, Mathieu Cardinal a mûri son idée pendant trois ans avant de se lancer tête première dans ce projet. "Je crois au centre-ville et j'aurais personnellement acheté un condo ici, explique-t-il. Mon étude de marché, c'était moi!" "Quand on l'a acheté, l'immeuble n'était occupé qu'à 30 ou 35 pour cent, ajoute-t-il. Pourtant, il est situé à l'une des intersections les plus passantes de Sherbrooke, ce qui lui donne un potentiel extraordinaire. Ce n'était pas logique que cette bâtisse soit laissée à l'abandon..." Âgé de 32 ans, le Sherbrookois gagne sa vie en achetant des immeubles locatifs depuis une dizaine d'années. À ce jour, il détient une centaine d'unités de logement. La conversion du bâtiment du centre-ville est son premier projet d'envergure du genre. Pour mener son projet à terme, M. Cardinal s'est entouré de Daniel Farah-Lavoie, de la firme lavalloise KA Construction, responsable des travaux, et du promoteur Robert Laurin, responsable de la vente des différents locaux. Les travaux ne sont pas encore terminés que déjà, le groupe caresse d'autres projets du genre à Sherbrooke, laisse entendre M. Cardinal. |
ZAP Sherbrooke continue de grandir
La Tribune SHERBROOKE - Un mois et demi après son lancement officiel, ZAP Sherbrooke continue de grandir. Plusieurs points d’accès gratuit à Internet sans fil s’ajoutent au groupe du départ. Environ 35 endroits publics en font partie et quelques dizaines d’autres verront le jour au cours des prochaines semaines. Des points d’accès supplémentaires seront mis en place pour la rentrée scolaire dans des institutions d’enseignement de la ville, mentionne Bruno Lacasse, directeur des services techniques à Bishop’s et l’un des promoteurs du projet. «Oui, c’est vraiment parti. Il y a eu un boum lors du lancement. Nous recevons des appels à tous les jours. Ça fait boule de neige.» «C’est rendu facile de faire adhérer les gens au programme ZAP. Je dirais que 80 pour cent des gens approchés embarquent. Nous regroupons maintenant des restos, des hôtels, un concessionnaire auto, un dentiste, etc. Nous sommes mêmes en discussion avec des terrains de camping.» Issu d’une initiative du Pôle universitaire, ZAP Sherbrooke est un organisme dont la mission est de promouvoir le déploiement de Zones d’Accès Publics (ZAP) Internet sans fil et gratuits, à travers tout le territoire de la Ville de Sherbrooke. Des commerces et des organismes sans but lucratif ou communautaires peuvent acheter un équipement offrant Internet sans fil (wifi) et gratuitement à leurs clients ou usagers. L’objectif est fixé à 125 à 150 points d’accès d’ici la fin de l’année. «Nous allons l’atteindre», promet M. Lacasse. Le caractère novateur et mobilisateur de ce projet, porté depuis le début par le principal de l’Université Bishop’s, Robert Poupart, a amené ZAP Sherbrooke à être sélectionné comme l’un des projets phares, lors du Sommet économique de Sherbrooke le 24 mai dernier. Il a reçu l’appui des chambres de commerce de Sherbrooke et de Fleurimont. De plus, la Corporation de développement du centre-ville de Sherbrooke et ZAP s’associent pour promouvoir l’ouverture de points d’accès Internet sans fil au centre-ville. Le coût initial d’une installation standard est de 100 $, plus 50 $ par an pour le support et la visibilité sur Internet. «Prenons le cas de Pro-Gestion Estrie. L’organisme en fait partie parce que lorsque des visiteurs sont sur place, ils peuvent ouvrir leur ordinateur dans les salles de réunion et avoir accès à Internet.» «Ce sont des connexions d’appoint, rappelle Bruno Lacasse. Ce n’est pas idéal pour télécharger des films ou de la musique. Les gens peuvent avoir accès à leurs courriels. Travailler comme s’ils étaient au bureau. On voit des coopératives d’habitation s’intéresser au projet.» Zap Sherbrooke (www.zapsherbrooke.org) a maintenant une ressource à temps plein qui approche des commerces et des organismes pouvant faire partie du groupe. De plus, on incite les internautes à parler du projet ZAP Sherbrooke aux commerçants ou organismes pouvant devenir des points d’accès. «Ensuite, ils peuvent nous contacter pour nous suggérer cet endroit. Nous pouvons après contacter les personnes responsables du commerces ou de l’organisme pour leur offrir d’embarquer. C’est toujours plus facile quand quelqu’un en a parlé avant.» |
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Projets en procesus de réalisation dans la cours du vieux shnoc
- Construction du centre de production des arts de la scène Jean Besré - Ratapper la place du centre - Logements socieux sur King, de l'autre coté du pont Aylmer - Aménagement d'un parc en face des murales sur Bowen/King Projets futurs que caresse la ville dans l'bout du vieux shnoc - Aménagemnent des berges de la Saint-Francois Projets déja réalisés dans la cours du vieux shnoc - paver la rue Wellington Sud - Création et construction de l'Estudiantine (pour l'UdeS) - construction du MAXI - Construction de la SAQ sélection - Agrandissement majeur de la Maison du Cinéma J'vois vraiment pas pourquoi il chiale autant ! |
Sherbrooke adoptera un schéma d'aménagement
La Tribune SHERBROOKE - Ce qui était souhaité par plusieurs élus municipaux est maintenant évoqué très ouvertement par le président du comité consultatif d'urbanisme, Louida Brochu: Sherbrooke adoptera d'abord un nouveau schéma d'aménagement avant de revoir son plan d'urbanisme et ses règlements de zonage. Le conseil municipal devrait officiellement adopter cette orientation le mois prochain. Le nouveau schéma d'aménagement remplacera celui adopté il y a 20 ans par la MRC de Sherbrooke. Il sera teinté par le développement durable et devrait reprendre plusieurs aspects verts du défunt plan d'urbanisme, rejeté par une majorité de Sherbrookois lors du référendum du 6 mai dernier. En adoptant le schéma d'aménagement avant un nouveau plan d'urbanisme, l'administration Perrault souhaite éviter une seconde défaite référendaire. "Les axes routiers ont été un enjeu majeur lors du référendum", rappelle Louida Brochu. Les nouveaux boulevards, notamment les prolongements de Monseigneur-Fortier et de Lionel-Groulx, feront l'objet de consultations publiques avant qu'un nouveau schéma d'aménagement soit adopté. Tel qu'exigé par Québec, le tracé initial de ces boulevards, source d'inquiétude pour plusieurs citoyens, figurait dans le plan d'urbanisme. Les élus ont eu beau répéter que cette épineuse question allait être soumise à des consultations après le référendum, plusieurs citoyens ne les ont vraisemblablement pas cru et ont préféré voter Non pour cette raison, laisse entendre M. Brochu. "Quand le réseau de transport sera bien défini, on s'attaquera au plan d'urbanisme", indique le président du comité consultatif d'urbanisme (CCU). L'adoption d'un nouveau schéma d'aménagement prendra deux ou trois ans, estime M. Brochu. Selon lui, ce schéma d'aménagement pourrait reprendre plusieurs éléments "verts" contenus dans le dernier plan d'urbanisme, notamment la protection des zones d'intérêt écologique. Contrairement à certains élus, M. Brochu refuse de dire que la Ville aurait dû procéder de cette façon dès le départ. "C'est facile d'analyser la situation a posteriori", répond-il simplement. À l'époque, l'administration Perrault avait privilégié le plan d'urbanisme plutôt que le schéma d'aménagement pour faciliter le travail des fonctionnaires, qui doivent, encore aujourd'hui, travailler avec les règlements de zonage de chacune des anciennes villes fusionnées. En guise d'exemple, M. Brochu cite le cas d'un inspecteur municipal qui partage son temps entre les arrondissements de Lennoxville et de Fleurimont, où les marges de recul ne sont pas les mêmes. Le nouveau plan d'urbanisme harmonisait les règlements pour l'ensemble de la ville. Éclairage extérieur Tel qu'évoqué par La Tribune le mois dernier, la Ville de Sherbrooke adoptera un règlement de contrôle intérimaire sur l'éclairage extérieur afin de répondre aux préoccupations de l'AstroLab du parc du Mont-Mégantic, qui souhaite ainsi obtenir son statut de "réserve internationale de ciel étoilé". Les élus ont adopté une résolution en ce sens, lundi dernier. Ce règlement sur l'éclairage extérieur faisait partie du défunt plan d'urbanisme. |
Oh Yeah... Sherbrooke fait maintenant 148 170 habitants en additionnant les tous derniers chiffres des tranches d'age.
La population sherbrookoise se chiffrait a 147 426 habitants en mars dernier, c'est donc une augmentation d'environ 800 habitants en 5 mois. C'est donc assez Rock a mon gout. La population de la RMR de Sherbrooke, qui se chiffrait a 186 952 selon le recensement de 2006, a donc fort probablement dépassé les 187 000... Mieux encore, les banlieues de Magog, Stoke, Saint-Denis-de-Brompton et d'Ascot Corner ayant une croissance encore plus forte (proportionnellement) que celle de Sherbrooke, je suis prêt a parier qu'actuellement, la RMR doit faire près de 189 000 habitants !... On a jamais été aussi près du chiffre magique de 200 000 !! Manque juste 11 000 habitants ! ... Et si on part du principe que 60% des étudiants de l'UdeS sont de l'extérieur de la région, en saison scolaire, c'est au moins 17 000 habitants non officiels qui s'ajoute a la ville. Donc avec ces chiffres nouveaux et surtout, spéculatif, Sherbrooke atteindra 206 000 habitants, lorsque la session automne de l'UdeS débutera...:haha: |
Feu vert au Sommet de la Santé! Investissements de 600 millions de dollars... Je suis un peu déçu, j'aurais vu ce projet dans le terrain vague en bas de la rue Brûlotte et pas devant le CHUS. Perrault a manqué de guts un peu. Mais quoi qu'il en soit, le projet comprend un gros quartier résidentiel, 2 tours de 6 étages, un rond-point et une zone commercante.
Et le prolongement de l'autoroute 410 passera direct sur la Ferme Ste-Catherine. Dommage, mais j'imagine qu'ils pourront la déménager. |
Quote:
Et j'aurais bien aimé que la zone entre Brulotte et le CHUS soit urbanisé, mai je crois que c'est imposible puisque c'est zoné écologique... Tant qu'a ca j'suis d'avis qu'ils y fassent un gros parc, comme celui du bois Beckett... Pour ce qui est du prolongement de la 410, y'a surement encore des caves qui vont mettre ca sur le dos de Perrault, comme si l'administration municipal avait dequoi a dire la dessus.... |
Arrivée de Charles River: Québec repousse les limites
Monique Jérôme-Forget s'est levée cette semaine. Et elle a poussé une clôture - celle qui délimite la zone où les entreprises de biotechnologies bénéficient de crédits d'impôt. Le but: faire de l'espace à Charles River, une biotech américaine qui pourrait s'implanter à Sherbrooke. La ministre des Finances du Québec a annoncé sans tambour ni trompette qu'elle faisait grimper de plus du tiers la superficie des centres de développement des biotechnologies (CBD), des zones qui permettent aux entreprises qui s'y installent de bénéficier de crédits d'impôt. Et pas question de faire dans l'à peu près: l'augmentation est de 7520 mètres carrés très précisément, nous apprend un bulletin d'information du Ministère daté du 13 août. Vérification faite, l'agrandissement est précis parce qu'il vise un but précis: accueillir la multinationale américaine Charles River à Sherbrooke, l'une des quatre villes à disposer d'un centre de développement des biotechnologies avec Laval, Lévis et Saint-Hyacinthe. "Ils (Charles River) discutent actuellement d'un projet avec Investissement Québec, a confirmé à La Presse Affaires Réal Tremblay, sous-ministre adjoint, droit fiscal, au ministère des Finances. Il reste quelques ficelles à attacher, mais pour que le projet se réalise, il fallait absolument qu'il y ait des pieds carrés additionnels alloués." Les centres de développement des biotechnologies sont des zones similaires à la Cité du multimédia ou la Cité du commerce électronique. Les entreprises qui s'y installent bénéficient de crédits d'impôt sur les salaires et sur l'achat ou la location d'équipements spécialisés. Selon Investissement Québec, on y compte actuellement 12 entreprises de biotechnologie. Selon le ministère des Finances, ces mesures fiscales coûtent entre 2 et 3 millions de dollars chaque année. À Sherbrooke, Charles River Laboratories représenterait le premier acteur majeur à s'implanter dans la zone. L'entreprise de Boston offre divers services aux sociétés pharmaceutiques, dont les tests de médicaments sur les animaux. Selon le quotidien La Tribune, qui a annoncé que l'entreprise avait choisi Sherbrooke pour ses nouvelles installations, son arrivée pourrait créer une centaine d'emplois lors de son démarrage, un nombre qui pourrait grimper jusqu'à 300. Pas de changement de cap L'agrandissement des CDB peut surprendre de la part du Parti libéral, lui qui avait fait un sérieux ménage en 2003 dans les programmes de crédits d'impôt mis en place par le Parti québécois. Le ministre des Finances de l'époque, Yves Séguin, avait alors aboli les mesures fiscales relatives à la poursuite d'activités dans des endroits désignés... à une exception près: les crédits d'impôt pour les centres de développement en biotechnologies, eux, avaient été maintenus, comme le rappelle aujourd'hui Réal Tremblay, du ministère des Finances. "Quand les libéraux ont pris le pouvoir, ils ont dit: Nous mettons un terme aux sites désignés, sauf les centres de développement des biotechnologies, donc ça ne va pas à l'encontre de la philosophie (des libéraux)." L'agrandissement de la superficie des CBD fait en tout cas la joie de BioQuébec, qui y voit "un beau pas dans la bonne direction". "Ce type d'incitatif est toujours pertinent et apprécié des entreprises, dit Patrick Montpetit, président du conseil d'administration de BioQuébec. C'est souvent un catalyseur pour amener des sociétés à investir et s'installer au Québec. C'est clair que sommes en faveur de tout avancement dans ce sens." |
:previous: C'est quand même le fun d'avoir 2 députés qui ont beaucoup d'influence à Sherbrooke :D . Même si je ne suis pas pour leur partie. Jean à beaucoup aidé la cité des rivières et plusieurs gros projets ont vue naissances grâce à eux, (agrandissement d'hôpitaux)
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lol la ville va genre poursuivre les architectes pi les gars qui ont travailler sur les centre d'art parce que le recouvrement extérieur est trop à chier pi que sa ne suivait pas les plans. Tribune d'aujourd'hui
Personnelement je trouve que sa resemble a un recouvrement d'étable, ou un peu le même que le terrain de soccer interrieur. |
le terrain de soccer intérieur a tout de même plus de classe...
Quant a Jean-Besré, c'est clair que ca ressemble pas du tout a ce qu'on nous avait montré sur les rendus... Juste pour ca, je comprend la ville d'être en criss... En plus, c'est vrai que c'est foutuement laid. sans niaiser, j'trouve que y'a rien d'aussi horrible a travers la ville de Sherbrooke... j'dirais presque a travers le Québec... Ils vont essayer de ''maquiller'' le building... bonne affaire... si c'est bien fait, avec une bonne couche de peinture et des arbres ici et la, ca va devenir super beau... car je trouve que dans a forme, le batiment a un énorme potentiel... c'est juste le recouvrement qui est a chier... |
Charles River: 1000 emplois de pointe d'ici cinq ans
http://img413.imageshack.us/img413/170/bilderi1.jpg La Tribune SHERBROOKE - C'est pratiquement confirmé: la multinationale américaine Charles River Laboratories s'implantera dès cet automne dans le nouveau parc de la Santé adjacent au CHUS Fleurimont. La compagnie spécialisée en essais de produits pharmaceutiques prévoit investir au moins 36 M $ dans la construction de laboratoires, ce qui créera jusqu'à 1000 emplois de pointe d'ici cinq ans à Sherbrooke. Évoqué à mots couverts depuis plusieurs mois, mais pas encore annoncé officiellement, cet important projet a fait l'objet d'une résolution du conseil municipal de la Ville de Sherbrooke, lundi soir. Pour que les trois phases d'agrandissement prévues au projet puissent aller de l'avant, le périmètre d'urbanisation devra éventuellement être agrandi, ce qui nécessitait l'adoption de la résolution du conseil à ce moment-ci. En séance publique, les élus n'ont émis aucun commentaire face à l'arrivée des laboratoires Charles River à Sherbrooke, préférant attendre que l'entreprise confirme elle-même la nouvelle lors d'une éventuelle conférence de presse. Cette dernière devait avoir lieu en juin, mais elle a été reportée à une date indéterminée. La première pelletée de terre devrait se concrétiser d'ici quelques semaines, affirme-t-on du côté de la Ville de Sherbrooke. Il ne reste plus que quelques "technicalités" à régler avant le lancement des travaux. Le comité exécutif de la Ville pourrait approuver aujourd'hui la vente d'un immense terrain de 197 000 pieds carrés à l'entreprise Charles River, dernière étape majeure avant la concrétisation du projet. Dans les documents remis aux journalistes, on explique de long en large les plans de la multinationale qui, d'ici cinq ans, devrait occuper le tiers du nouveau parc de la Santé situé entre l'autoroute 610 et le CHUS Fleurimont, près du nouveau carrefour giratoire. Le projet comprend quatre phases et sept bâtiments au total. La première phase, qui débutera cet automne, nécessitera des investissements de 36 M $, soit 30 M $ pour la construction d'un bâtiment de 81 000 pieds carrés et 6 M $ pour l'achat d'équipements. Elle permettra l'embauche de 162 personnes. Trois agrandissements subséquents ajouteront chaque fois quelque 80 000 pieds carrés aux installations de Charles River. Plus de 280 emplois seront créés lors de chaque agrandissement. La firme estime avoir besoin de 300 000 pieds carrés pour mener à bien ses activités précliniques à Sherbrooke. Dans un document préparé par Charles River et joint aux documents du conseil municipal, la compagnie explique avoir choisi Sherbrooke pour sa main-d'oeuvre spécialisée et bilingue, son coût de la vie avantageux, sa proximité avec Montréal et sa qualité de vie. En entrevue à La Tribune, le maire Jean Perrault a estimé qu'il s'agit d'une "très bonne nouvelle" pour les Sherbrookois. M. Perrault souhaite que ce projet en attire d'autres dans le nouveau parc de la Santé. Il se réjouit du fait que les laboratoires Charles River fourniront "de bons emplois" et favoriseront la rétention des étudiants. Il croit également que l'arrivée de Charles River à Sherbrooke prouve que les décideurs locaux avaient vu juste en priorisant ce secteur d'activités. La compagnie Charles River fournit notamment des services d'essais précliniques aux industries pharmaceutiques et biotechnologiques à travers le monde, en vue de commercialiser de nouveaux médicaments. Les installations sherbrookoises pourront accueillir des études sur plusieurs espèces animales dont des rats, des souris et des chiens, précisent les documents portant le logo de Charles River Laboratories remis lors de la séance de lundi soir. |
Charles River: 1000 emplois de pointe d'ici cinq ans
http://img413.imageshack.us/img413/170/bilderi1.jpg La Tribune SHERBROOKE - C'est pratiquement confirmé: la multinationale américaine Charles River Laboratories s'implantera dès cet automne dans le nouveau parc de la Santé adjacent au CHUS Fleurimont. La compagnie spécialisée en essais de produits pharmaceutiques prévoit investir au moins 36 M $ dans la construction de laboratoires, ce qui créera jusqu'à 1000 emplois de pointe d'ici cinq ans à Sherbrooke. Évoqué à mots couverts depuis plusieurs mois, mais pas encore annoncé officiellement, cet important projet a fait l'objet d'une résolution du conseil municipal de la Ville de Sherbrooke, lundi soir. Pour que les trois phases d'agrandissement prévues au projet puissent aller de l'avant, le périmètre d'urbanisation devra éventuellement être agrandi, ce qui nécessitait l'adoption de la résolution du conseil à ce moment-ci. En séance publique, les élus n'ont émis aucun commentaire face à l'arrivée des laboratoires Charles River à Sherbrooke, préférant attendre que l'entreprise confirme elle-même la nouvelle lors d'une éventuelle conférence de presse. Cette dernière devait avoir lieu en juin, mais elle a été reportée à une date indéterminée. La première pelletée de terre devrait se concrétiser d'ici quelques semaines, affirme-t-on du côté de la Ville de Sherbrooke. Il ne reste plus que quelques "technicalités" à régler avant le lancement des travaux. Le comité exécutif de la Ville pourrait approuver aujourd'hui la vente d'un immense terrain de 197 000 pieds carrés à l'entreprise Charles River, dernière étape majeure avant la concrétisation du projet. Dans les documents remis aux journalistes, on explique de long en large les plans de la multinationale qui, d'ici cinq ans, devrait occuper le tiers du nouveau parc de la Santé situé entre l'autoroute 610 et le CHUS Fleurimont, près du nouveau carrefour giratoire. Le projet comprend quatre phases et sept bâtiments au total. La première phase, qui débutera cet automne, nécessitera des investissements de 36 M $, soit 30 M $ pour la construction d'un bâtiment de 81 000 pieds carrés et 6 M $ pour l'achat d'équipements. Elle permettra l'embauche de 162 personnes. Trois agrandissements subséquents ajouteront chaque fois quelque 80 000 pieds carrés aux installations de Charles River. Plus de 280 emplois seront créés lors de chaque agrandissement. La firme estime avoir besoin de 300 000 pieds carrés pour mener à bien ses activités précliniques à Sherbrooke. Dans un document préparé par Charles River et joint aux documents du conseil municipal, la compagnie explique avoir choisi Sherbrooke pour sa main-d'oeuvre spécialisée et bilingue, son coût de la vie avantageux, sa proximité avec Montréal et sa qualité de vie. En entrevue à La Tribune, le maire Jean Perrault a estimé qu'il s'agit d'une "très bonne nouvelle" pour les Sherbrookois. M. Perrault souhaite que ce projet en attire d'autres dans le nouveau parc de la Santé. Il se réjouit du fait que les laboratoires Charles River fourniront "de bons emplois" et favoriseront la rétention des étudiants. Il croit également que l'arrivée de Charles River à Sherbrooke prouve que les décideurs locaux avaient vu juste en priorisant ce secteur d'activités. La compagnie Charles River fournit notamment des services d'essais précliniques aux industries pharmaceutiques et biotechnologiques à travers le monde, en vue de commercialiser de nouveaux médicaments. Les installations sherbrookoises pourront accueillir des études sur plusieurs espèces animales dont des rats, des souris et des chiens, précisent les documents portant le logo de Charles River Laboratories remis lors de la séance de lundi soir. |
Ca mes amis, ca la, ce sont les premiers pas de Sherbrooke entant que futur technopole !
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Non mais vous vous rendez compte ?... Les alentours du CHUS Fleurimont vont avoir changés en sacre pour la première fois depuis les années 70
- naissance du parc des biotechnologies - méga proje immobilier des sommets de la santé - Charles River - Buandrie du CHUS ... et tout ca, c'est sans compter les dévelloppements dans le parc innovation de l'UdeS, qui vise a créer plus de 10 nouveaux laboratoires high tech d'ici 5 ans et ce, en collaboration avec plusieurs entreprises privés... Tout ca va ammener une tone de nouveaux chercheurs a Sherbrooke pour combler ces emplois. Un calcul vite fait ?... On va enavoir au dela de 3 000 en plus !!... aditionnez ca a la croissance annuelle de Sherbrooke et c'est pas long que le 200 000 va pèter ! |
oh yeahh..:happypunk: en plus le parc innovation et biotechnologies en sont seulement à leurs début.:psycho: . Mais il va y avoir du trafic dans le coin du chus.. Surtout à l'intersection un peu après le viaduc.
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Quote:
D'ailleur, concernant l'UdeS, l'entée principale sera a la hauteur du chemin de Sainte-Catherine. Au dessus de cette route, on construira un viaduc pour l'autoroute et celui ci comportera 6 voies... Avec la circulation présente autour de l'UdeS et celle que le parc Inovation créera, cette infrastructure tombe a pique... Et concernant le viaduc a 6 voies, sa composition sera une première au Canada. Le département de Génie de l'UdeS dirige la Chaire de recherche canadienne sur le béton (je crois). Et ils ont décidé de tester leur découvertes sur ce viaduc. Celui-ci sera composé de capteurs et sera en constante surveillance, question de voir comment il se comporte... En théorie, ce sera un viaduc plus solide, et demendant moins d'entretient... |
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