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Mais avant, faudrait savoir si un dédoublement est réellement nécessaire. mais je crois que oui, si on veut un réseau qui a de l'allure (on peut rêver) ! |
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Ça ne se serait pas passé ainsi si la Ville avait eu le moindre pouvoir de décision sur le sujet... |
Je crois que lio a raison, car dans l'article sur les plaines inondables (4.2.1 du lien plus haut) on spécifie les constructions permises en plaine inondable et on n'y trouve pas les parcs.
À moins que les parcs ou le mobilier urbain soient inclus là-dedans: "g) un ouvrage à aire ouverte, à des fins récréatives, autre qu'un terrain de golf, réalisable sans remblai ni déblai" Pour les nouvelles constructions je pense qu'on peut oublier ça. |
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Le 51-55 et le parc le long de la St-François dont j'ai parlé sont tous deux situés dans la zone de grand courant d'une plaine inondable, alors voici l'article qui s'applique à la situation (4.2). Tout ajout est interdit dans ces zones, sauf les exceptions décrites dans l'article 4.2.1. Les dérogations qu'il est possible d'espérer obtenir sont décrites dans l'article 4.2.2. 4.2.1. k) permet d'ajouter des arbres, c'est déjà ça. Je ne crois pas qu'un banc de parc soit permis... --------------------------------------------------------- 4.2. Mesures relatives à la zone de grand courant d'une plaine inondable Dans la zone de grand courant d'une plaine inondable ainsi que dans les plaines inondables identifiées sans que ne soient distinguées les zones de grand courant de celles de faible courant sont en principe interdits toutes les constructions, tous les ouvrages et tous les travaux, sous réserve des mesures prévues aux paragraphes 4.2.1 et 4.2.2. D. 468-2005, a. 4.2. 4.2.1. Constructions, ouvrages et travaux permis Malgré le principe énoncé précédemment, peuvent être réalisés dans ces zones, les constructions, les ouvrages et les travaux suivants, si leur réalisation n'est pas incompatible avec les mesures de protection applicables pour les rives et le littoral: a) les travaux qui sont destinés à maintenir en bon état les terrains, à entretenir, à réparer, à moderniser ou à démolir les constructions et ouvrages existants, à la condition que ces travaux n'augmentent pas la superficie de la propriété exposée aux inondations; cependant, lors de travaux de modernisation ou de reconstruction d'une infrastructure liée à une voie de circulation publique, la superficie de l'ouvrage exposée aux inondations pourra être augmentée de 25% pour des raisons de sécurité publique ou pour rendre telle infrastructure conforme aux normes applicables; dans tous les cas, les travaux majeurs à une construction ou à un ouvrage devront entraîner l'immunisation de l'ensemble de celle-ci ou de celui-ci; b) les travaux, constructions ou ouvrages destinés à des fins d'accès public ou à des fins municipales, industrielles, commerciales ou publiques, qui sont nécessaires aux activités portuaires, à la navigation ou à la construction navale, notamment les quais, les brise-lames, les canaux, les écluses, les aides fixes à la navigation ainsi que leurs équipements et accessoires; des mesures d'immunisation appropriées devront s'appliquer aux parties des ouvrages situées sous le niveau d'inondation de la crue à récurrence de 100 ans; c) les installations souterraines linéaires de services d'utilité publique telles que les pipelines, les lignes électriques et téléphoniques ainsi que les conduites d'aqueduc et d'égout ne comportant aucune entrée de service pour des constructions ou ouvrages situés dans la zone inondable de grand courant; d) la construction de réseaux d'aqueduc ou d'égout souterrains dans les secteurs déjà construits mais non pourvus de ces services afin de raccorder uniquement les constructions et ouvrages déjà existants à la date d'entrée en vigueur du premier règlement municipal interdisant les nouvelles implantations; e) les installations septiques destinées à des constructions ou des ouvrages existants; l'installation prévue doit être conforme à la réglementation sur l'évacuation et le traitement des eaux usées des résidences isolées édictée en vertu de la Loi sur la qualité de l'environnement (L.R.Q., c. Q-2); f) l'amélioration ou le remplacement d'un puits d'une résidence ou d'un établissement existant par un puits tubulaire, construit de façon à éliminer les risques de contamination par scellement de l'espace annulaire par des matériaux étanches et de façon durable ainsi qu'à éviter la submersion; g) un ouvrage à aire ouverte, à des fins récréatives, autre qu'un terrain de golf, réalisable sans remblai ni déblai; h) la reconstruction lorsqu'un ouvrage ou une construction a été détruit par une catastrophe autre qu'une inondation; les reconstructions devront être immunisées conformément aux prescriptions de la politique; i) les aménagements fauniques ne nécessitant pas de remblai et ceux qui en nécessitent, mais dans ce dernier cas, seulement s'ils sont assujettis à l'obtention d'une autorisation en vertu de la Loi sur la qualité de l'environnement; j) les travaux de drainage des terres; k) les activités d'aménagement forestier, réalisées sans déblai ni remblai, dont la réalisation est assujettie à la Loi sur les forêts (L.R.Q., c. F-4.1) et à ses règlements; l) les activités agricoles réalisées sans remblai ni déblai. D. 468-2005, a. 4.2.1; D. 709-2008. 4.2.2. Constructions, ouvrages et travaux admissibles à une dérogation Peuvent également être permis certaines constructions, certains ouvrages et certains travaux, si leur réalisation n'est pas incompatible avec d'autres mesures de protection applicables pour les rives et le littoral et s'ils font l'objet d'une dérogation conformément aux dispositions de la Loi sur l'aménagement et l'urbanisme (L.R.Q., c. A-19.1). L'annexe 2 de la présente politique indique les critères que les communautés métropolitaines, les MRC ou les villes exerçant les compétences d'une MRC devraient utiliser lorsqu'ils doivent juger de l'acceptabilité d'une demande de dérogation. Les constructions, ouvrages et travaux admissibles à une dérogation sont: a) les projets d'élargissement, de rehaussement, d'entrée et de sortie de contournement et de réalignement dans l'axe actuel d'une voie de circulation existante, y compris les voies ferrées; b) les voies de circulation traversant des plans d'eau et leurs accès; c) tout projet de mise en place de nouveaux services d'utilité publique situés au-dessus du niveau du sol tels que les pipelines, les lignes électriques et téléphoniques, les infrastructures reliées aux aqueducs et égouts, à l'exception des nouvelles voies de circulation; d) les puits communautaires servant au captage d'eau souterraine; e) un ouvrage servant au captage d'eau de surface se situant au-dessus du niveau du sol; f) les stations d'épuration des eaux usées; g) les ouvrages de protection contre les inondations entrepris par les gouvernements, leurs ministères ou organismes, ainsi que par les municipalités, pour protéger les territoires déjà construits et les ouvrages particuliers de protection contre les inondations pour les constructions et ouvrages existants utilisés à des fins publiques, municipales, industrielles, commerciales, agricoles ou d'accès public; h) les travaux visant à protéger des inondations, des zones enclavées par des terrains dont l'élévation est supérieure à celle de la cote de crue de récurrence de 100 ans, et qui ne sont inondables que par le refoulement de conduites; i) toute intervention visant: - l'agrandissement d'un ouvrage destiné aux activités agricoles, industrielles, commerciales ou publiques; - l'agrandissement d'une construction et de ses dépendances en conservant la même typologie de zonage; j) les installations de pêche commerciale et d'aquaculture; k) l'aménagement d'un fonds de terre à des fins récréatives, d'activités agricoles ou forestières, avec des ouvrages tels que chemins, sentiers piétonniers et pistes cyclables, nécessitant des travaux de remblai ou de déblai; ne sont cependant pas compris dans ces aménagements admissibles à une dérogation, les ouvrages de protection contre les inondations et les terrains de golf; l) un aménagement faunique nécessitant des travaux de remblai, qui n'est pas assujetti à l'obtention d'une autorisation en vertu de la Loi sur la qualité de l'environnement (L.R.Q., c. Q-2); m) les barrages à des fins municipales, industrielles, commerciales ou publiques, assujettis à l'obtention d'une autorisation en vertu de la Loi sur la qualité de l'environnement. D. 468-2005, a. 4.2.2; D. 709-2008. --------------------------------------------------------- |
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Par contre, la possibilité d'un parc (sans mobilier urbain) fait partie des dérogations possibles : 4.2.2. k) l'aménagement d'un fonds de terre à des fins récréatives, d'activités agricoles ou forestières, avec des ouvrages tels que chemins, sentiers piétonniers et pistes cyclables, nécessitant des travaux de remblai ou de déblai; ne sont cependant pas compris dans ces aménagements admissibles à une dérogation, les ouvrages de protection contre les inondations et les terrains de golf (...) |
ouin. Ca en dit long sur les possibilités tout ca.
... Et il fallait que ce soit au coeur de la ville. |
Sur un autre sujet, le restaurant pizzicato va rouvrir au mois de juillet,
Aujourd'hui, le comité consultatif en urbanisme va accepter ou non le projet de rénovation de l'ancien bon marché |
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Enfin ! Sévigny commence a parler grandeur. J'aime ca....
Sévigny veut « secouer le carcan des mentalités de clocher » David Bombardier La Tribune SHERBROOKE Sherbrooke a tous les atouts pour devenir la ville « la plus prospère, la plus enviée et la plus reconnue au Québec », estime le maire de Sherbrooke, Bernard Sévigny. Pour y parvenir, il faudra mettre fin une fois pour toutes à la culture de silos, prévient-il. Dans son premier discours devant un auditoire depuis son élection à la mairie, hier soir, M. Sévigny a longuement insisté sur son désir de pousser Sherbrooke vers de nouveaux sommets afin que la ville occupe le premier rang au Québec pour sa qualité de vie, ses emplois, son savoir, sa richesse collective et sa prospérité. « Pour y arriver, nous allons devoir travailler ensemble et je sens cette volonté de le faire, je perçois ce désir de secouer le carcan des mentalités de clocher pour amener notre ville à sa vraie place, la première», a-t-il lancé à l’intention de son auditoire. 270 convives Pas moins de 270 membres de la Chambre de commerce de Sherbrooke ont pris part au «souper du maire» dans la grande salle bondée de l’Hôtellerie du Boulevard. «Pour un souper causerie, ça fait longtemps qu’on n’a pas eu autant de monde», s’est félicité le président de la Chambre, Serge Audet. «J’avais hâte à ce moment-là », a pour sa part confié le nouveau maire de Sherbrooke et conférencier d’un jour. Avec son pôle universitaire et plus de 150 000 habitants, Sherbrooke a tout ce qu’il faut pour se comparer à Montréal et Québec plutôt qu’à des villes comme Trois-Rivières, Saguenay, Granby et Drummondville, juge le maire Sévigny. Pourquoi n’en est-il pas ainsi? « Nous sommes collectivement ralentis et freinés par une culture de silos, quand ce n’est pas une culture de clochers et de clans et ce, dans trop de domaines», répond-il. « Le sectarisme politique, les rivalités économiques et les conflits internes rongent l’efficacité des acteurs sur le terrain, ajoutet-il. Nos querelles nous ont fait perdre notre temps et ont miné notre capacité de déployer nos ailes.» C’est pour briser ce « moule malsain du sectarisme politique» que Bernard Sévigny dit avoir fondé le Renouveau sherbrookois, un parti politique qui rallie des souverainistes et des fédéralistes. Pour une meilleure collaboration des deux chambres Pour introduire plus de cohésion dans le développement commercial de Sherbrooke, un comité de travail redéfi nira le mandat de la Corporation de développement du centre-ville de Sherbrooke pour adapter sa structure et son mandat à l’ensemble du territoire. Les présidents des chambres de commerce de Sherbrooke et de Fleurimont travailleront ensemble au sein de ce comité de travail, une concertation qui réjouit le maire Sévigny. Ce dernier a d’ailleurs profité de son discours pour lancer une invitation à peine voilée à une plus grande collaboration entre les deux chambres de commerce. C’est aussi pour sortir des « fameux silos» que le conseil municipal compte regrouper les organismes paramunicipaux qui oeuvrent au développement récréotouristique, dont Tourisme Sherbrooke et Cité des rivières. |
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C'est beau de rêver...
Malheureusement, si la ville de Sherbrooke est à devenir comme Sévigny l'entend, ce ne sera probablement pas sous son règne. Il a une vision de l'aménagement beaucoup trop axé sur l'économie. Son implication dans le domaine le démontre largement. Ce n'est pas l'industrie qui fait de Montréal et de Québec ce qu'elles sont. Québec est reconnue internationalement pour son côté touristique. Montréal l'est pour son côté culturel (ouais bon, c'est encore vague mais...). De plus, ces dernières ont amplement les moyens financiers mais surtout idéologiques pour réussir. Sherbrooke en est encore bien loin. Si on peut effectivement parler d'un pôle universitaire, Sherbrooke reste une ville gouverné par des gens qui aiment le conservatisme en aménagement et en gestion. Et puis de toutes manières, le simple fait de comparer Montréal à Sherbrooke...Faut pousser très loin. À part le fait que les deux villes soient situées au Québec, je ne vois pas de ressemblance frapante. |
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En passant, Sévigny a des valeurs plus larges que l'économie, contrairement a ce que tu soutiens. Il prône la participation citoyenne en politique municipale et on le voit via les projets et actions qu'il pose : - diffusion des séances du conseil sur internet et a la télévision - changement majeur dans la forme dans laquelle les séances du conseil évoluent, dans le but de les vulgariser, et de les rendre plus accessible a la population - création de nouveaux comités citoyens Ceci démontre que Sévigny est un homme qui veut rapprocher la politique de la population. Rares sont les administrations municipales au Québec qui voient aussi grand et clairs a ce niveau. Ces actes resserreront le sentiment d'appartenance des sherbrookois a leur communauté. Quote:
En gestion : Le diagnostique est connu. Comme le dit Sévigny : « Le sectarisme politique, les rivalités économiques et les conflits internes rongent l’efficacité des acteurs sur le terrain, ajoutet-il. Nos querelles nous ont fait perdre notre temps et ont miné notre capacité de déployer nos ailes.» Par contre, ca change et je crois que Sévigny, avec son ouverture et ses autre qualités peut être le potentiel meneur qui renversera définitivement ces tendances. Espérons que son leadership primera. Moi j'y crois. Quote:
Sherbrooke n'aura jamais 4 million d'habitants et ne sera jamais un bouillon économique et culturel aussi important que Montréal, mais elle a le potentiel pour être reconnu comme étant une ville phare du Québec, au même titre de Montréal et Québec (voila le sens de la comparaison), au lieu de rester un simple centre régional. Voilà le but. Et c'est clair que c'est pas avec toi qu'on va l'atteindre, malheureusement, t'as un esprit bien trop sectaire et un tempérament bien trop négationniste et défaitiste :P ;) . |
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... quant a Québec, c'est son statue de capitale, l'effervescence de ses activés portuaires jusqu'au milieu du 20ème siècle et la concentration de services (université, groupes religieux) qui en ont fait ce qu'elle est actuellement.
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En ratissant la liste des locaux a louer au centre-ville, j'ai trouvé cette image :
http://www.centrevillesherbrooke.ca/...mmerce/475.jpg C'est le 161 du Dépôt (les machines a coudre Hébert, voisin de l'Estudiantine). On s'entend que l'immeuble (à l'abandon), n'a pas du tout cette gueule a l'heure actuelle. Peut-on s'attendre a des travaux de rénovation sous peu ? Cet été ? ;) Honnêtement, je ne trouve pas ca vraiment beau et ca sent le maudit Stuco (j'ai hâte que cette mode passe enfin dans l'oublie), mais c'est tout de même mieux que ce qu'il y a actuellement ! |
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